Le lobby homo est en train de faire dans sa culotte. Entre nous, si j’étais lui, je réagirais pareil. La faute aux manifestations réussies du week end, à une tentative ratée de se victimiser (certains médias mainstream commencent à se poser des questions sur la version de Caroline Fourest, ici ou là par exemple…) dimanche et maintenant, à une (première) reculade de François Hollande qui a déclaré mardi, au congrès de l’Association des maires de France :
Les débats sont légitimes pour une société comme la nôtre. Les maires auront à appliquer la loi mais leur liberté de conscience sera respectée
avant d’affirmer que
Les possibilités de délégation existent, elles peuvent être élargies.
Tous les observateurs y ont vu (un peu vite) la promesse de l’instauration d’une objection de conscience pour les élus de la République. C’est une première bonne nouvelle car cela rappelle que le « mariage » homosexuel n’est pas un « mariage » comme les autres… Tout simplement parce qu’il ne s’agit pas d’un mariage mais d’une parodie de mariage. Le mariage n’existe qu’entre un homme et une femme. Le reste n’est que singerie, de bon goût si on en est partisan, de mauvais goût si on s’y oppose, et tous les goûts sont dans la nature. On peut le regretter, mais c’est un fait, comme c’est un fait que le mariage existait avant l’État et que celui-ci n’a aucun droit dessus. Et ce n’est pas une loi qui changera cela. Si le « mariage » homosexuel était légalisé, les personnes du même sexe auraient l’impression de se marier. La République aurait aussi cette impression. Ils seraient bien les seuls…
Lire la suite de l’article sur Nouvelles de France