Hier mercredi 24 octobre, en début de soirée, 2 lycéennes et 2 lycéens qui vendaient L’Action Française à la criée au métro Cluny-la-Sorbonne à Paris ont été agressés par une dizaine de militants d’extrême gauche encapuchonnés au cri « Antifâ » (sic) !
Après avoir tenté, en vain, d’arracher les journaux aux vendeurs qui étaient en train de replier, ils se sont attaqués à cinq contre un contre les deux lycéens, les plaquant au sol où ils les ont lâchement agressés à coups de pieds sur le corps et la figure, devant la population indignée qui a tenté de s’interposer. Aussitôt après avoir commis leur forfait, les gauchistes se sont enfuis. Un des deux vendeurs, grièvement blessé au visage, a dû être emmené d’urgence à l’hôpital.
Il faut supposer que l’Action française fasse vraiment peur aux nervis gauchistes pour que ces idiots utiles du régime s’attaquent en nombre très supérieur à quatre jeunes vendeurs.
Est-il normal qu’on puisse interdire dans un prétendu régime de liberté politique à des Français de promouvoir et de défendre leurs idées ?
Est-il normal qu’à deux pas de la faculté de la Sorbonne, où sont prônées liberté d’expression et émulation intellectuelle, des gauchistes au front bas interdisent l’expression d’un courant de pensée ayant séduit des hommes aussi différents que Proust ou Malraux ?
Les intimidations violentes, les lâches agressions organisées par l’extrême gauche ne viendront pas à bout de la détermination des militants d’Action française.
ILS NE NOUS AURONT PAS, ILS NE NOUS AURONT PAS VIVANTS ! (Georges Bernanos)
A ce post je ne donnerai qu’un conseil à nos amis Camelots, appliquer la loi du talion, par les temps qui cours, on milite avec la tête mais aussi avec les poings, ne pas chercher querelle est une chose, s’exposer naïvement à la racaille en est une autre. Etre unis, forts et préparer à l’affrontement est indispensable pour éviter que ce genre de choses arrivent. Pour deux prospecteurs de journaux de l’AF, il devrait y avoir quatre muscadins à l’écart pour les couvrir en cas de danger. Pour un coup reçu, deux devrait être donnés.
Cordialement
Esteban de palma