Philippe de Villiers poursuit son œuvre en deux volets : les scénarii du Puy du Fou et les biographies historiques. Après le Roman de Charette, paru chez Albin Michel l’an dernier, en 2012, Philippe de Villiers publie, à nouveau aux éditions Albin Michel, le Roman de Saint Louis. On l’annonce déjà comme un futur best-seller. Il sera en librairie à partir du 6 novembre.
Le roman de Saint Louis est une aventure surprenante, exaltante. Quand Saint Louis prend vie en Louis IX sous nos yeux, on se laisse porter par cette lecture dont les mots respirent la verve, la gouaille. Des mots de couleur, de relief, qui nous transportent dans ce Moyen-âge devenu soudain très familier. On découvre un Saint Louis de chair et de sang, un Saint Louis homme comme les autres. Ce qu’il avait de particulier, il le puisait dans son humanité. En cela, Saint Louis était un surhomme. Il est devenu pour la France entière un saint éternel et ce à travers son métier de roi. Il a cherché toute sa vie comme enfant-roi, roi-enfant, puis roi, le Bien commun. Philippe de Villiers nous offre un récit exceptionnel, passionnant et haletant de la première à la dernière page.
Auteur de nombreux succès de librairie, dont le remarquable Roman de Charette salué par le Prix de l’Histoire de la Forêt des Livres et celui de l’association des écrivains combattants, Philippe de Villiers est désormais reconnu comme un écrivain de talent qui fait l’unanimité du public, des critiques et des libraires. A propos du Roman de Saint Louis, il confie :
« Je rêvais de retrouver la trace et l’image d’un Saint Louis à l’humanité sensible, un Saint Louis de chair, à figure humaine. Le temps, en l’élevant au-dessus de nos natures, lui a peut-être rendu un mauvais service. Il m’a imposé d’aller puiser aux sources les plus authentiques. Là où repose le trésor des paroles vivantes, laissées par les premiers témoins. Ceux qui ont vraiment connu le roi Louis IX, qui l’ont approché, accompagné depuis l’enfance jusqu’au trépas. J’ai remonté le filet d’eau vive. Je n’ai rien inventé. Ni les événements, ni les personnages, ni même l’insolite. Il m’a fallu plonger dans l’époque, en étudier la vie quotidienne dans ses moindres détails, sentir battre les passions, pour faire revivre un Saint Louis de notre temps. »