Tribune libre d’Athanase Ducayla
Dans son dernier ouvrage, L’homosexualité en vérité, briser enfin le tabou, Philippe Ariño répond sous forme de questions-réponses à un des enjeux sociétaux actuels qui soulèvent le plus de passions : la question de l’homosexualité, et a fortiori celle du mariage et de l’adoption par des personnes de même sexe. Une analyse brillante et concise qui explore en profondeur les racines de ces revendications, en se recentrant sur la réalité de l’homosexualité. Analyse.
La grande originalité de ce micro-essai accessible à tous est la déconcertante simplicité de la vérité qui se cache derrière ces questions, mais qui est cependant gravement méconnue voire camouflée par les media et les esprits, bien plus animés par leur passions et les idéologies que par une recherche de bon sens. Le problème est ici traité avec douceur et fermeté, et sa complexité n’est pas altérée par des raccourcis idéologiques. Le chemin emprunté est clairement celui du Réel, et se caractérise par l’acceptation de la réalité comme elle est, sans utopie, couplée à une recherche de plénitude et de don de soi. Ce Réel dont on parle n’est pas à confondre avec le fait, la possibilité concrète ou la situation : on pourrait le définir comme une dynamique réparatrice du désordre inéluctable des choses (appelé entropie en sciences). C’est une dynamique humanisante, qui tend vers la plénitude de l’être.
Cette successions de réponses clefs sont articulées en trois grands chapitres. Le premier concerne la nature de l’homosexualité et son sens, le second apporte une aide sur la façon de réagir face à ce problème, et le troisième creuse plus profondément le second en l’ancrant dans le Christ et l’enseignement de l’Église.
Très vite, l’auteur met les choses au clair, rappelant que « la seule chose qui existe dans l’homosexualité, c’est le désir homosexuel. Il est une donnée physiologique indéniable, qui s’impose à l’individu qui la ressent sans qu’il l’ait a priori choisie. » En effet, « ‘l’espèce homosexuelle’, elle, n’existe pas. Le monde ne se divise pas, comme on essaie de nous le faire croire aujourd’hui,entre ‘les homos’ d’un côté et ‘les hétéros’ de l’autre; il ne se partage qu’entre hommes et femmes (la seule division fondatrice de la vie humaine, c’est la différence des sexes). On n’est jamais pleinement homosexuel. On ne se réduit pas à son orientation sexuelle du moment, même durable: la sexualité est un chemin évolutif et complexe (…). » Le couple homosexuel n’est donc pas la donnée sur laquelle il faut se pencher, car elle est beaucoup trop réductrice : voilà pourquoi le débat doit être recentré sur le désir homosexuel.
Après avoir défini de façon claire et précise ce qu’est le désir homosexuel, Philippe Ariño analyse ses caractéristiques, qu’il divise en sept catégories :
1) Désir homosexuel en tant que désir de viol, voire signe d’un viol réel
2) Désir homosexuel en tant que signe d’éloignement du Réel
3) Désir homosexuel en tant que peur d’être unique
4) Désir homosexuel en tant que désir d’être objet.
5) Désir homosexuel en tant que désir de se prendre pour Dieu.
6) Désir homosexuel en tant que fusion, exact jumeau (en bassesse et en violence) du désir hétérosexuel, mais différent du désir femme-homme aimant et du désir entre célibataire consacré et Dieu.
7) Désir homosexuel en tant que haine de soi, désir idolâtre (pour et contre lui-même) intrinsèquement homophobe
Tout ces points développés sur Nouvelles de France
alors autant je suis pour le miaarge, autant je suis contre l’adoption par un couple gay connaissant le sujet de pres, et sachant comme cela peut etre perturbant, que deja les couples heteros puissent avoir un enfant, et ensuite on pourra donner aux gays je ne remets pas en cause l’amour qui peut etre donne, ce n’est pas ca, cqr gays ou heteros l’amour que l’on peut donner a un enfant est le meme, mais ce que l’enfant en grandissant devra subir, deja faire face a un abondon, l’assumer et assumer le regard des autres sur ses parents differents.oups, la c’est moi qui ne vais pas me faire des copines en allant a contre-sens, mais bon, c’est ce que je pense