Une étude scientifique parue au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévalait jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels.
[…] Un célèbre article de la psychologue Charlotte Patterson de l’Université de Virginie recensant au début des années 90 près de 30 études allant toutes dans le même sens représentait l’argument scientifique infaillible pour faire taire les opposants à l’homoparentalité et tenter d’influencer les choix politiques jusque dans les enceintes internationales.
Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels.
Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.
Pourquoi une telle divergence dans les résultats de ces études de psychologie comportementale ? L’explication tient à la qualité de la démarche de Regnerus qui jette indirectement une lumière crue sur les biais méthodologiques des précédentes études. Le professeur texan a pris soin d’effectuer son enquête sur une large cohorte d’adultes contrairement aux anciennes études portant sur des échantillons ridiculement faibles de 11 à 38 personnes maximum. Par ailleurs, Regnerus s’appuie sur les réponses des enfants eux-mêmes devenus adultes et non sur celles données par les « parents » […] Enfin, les études jusqu’ici utilisées comparaient le ressenti des enfants élevés par des lesbiennes à celui d’enfants élevés dans des familles « recomposées », voire « monoparentales ».
[Cette publication] qui confirme le bien-fondé de la structure éthique et anthropologique de l’alliance conjugale entre un homme et une femme pour assurer le plein développement du petit d’homme. […]
L’article en entier sur Liberté Politique